Espionnage industriel ? Scandale sino politico-financier ?
Licenciements abusifs ? Ou coup de pub géant qui tourne mal ?
Difficile de sortir quelque chose de clair de l’affaire qui secoue Renault depuis maintenant un mois et qui donne lieu aux plus inimaginables des supputations sur le web et dans la presse.
Revenons aux faits : Renault se dit victime d’espionnage industriel de la part de trois cadres haut placés sur ses technologies électriques dont il souhaite devenir le leader mondial. Les jours passent, les services secrets et le
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gouvernement s’en mêlent, ainsi que la justice
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à la suite du dépôt de plainte contre X de l’ex régie. Après un mois, Renault n’avance toujours aucune preuve tangible selon les cadres de la partie adverses et s’en suit un cafouillage d’informations toutes plus confuses les unes que les autres.
Alors quelle image pour Renault avec ce scénario de James Bond
à la « Lelouch » ou les pistes se multiplient sans queues ni têtes sur fond de guerre économique. Que gagne
ou perd Renault en ce moment ?
Depuis Vilvoorde, Renault traine une image peu flatteuse de constructeur qui délocalise, supprime des emplois en France et importe ses modèles les plus populaires depuis l’étranger. Les acquisitions d’Avtovaz (Lada) en Russie, Samsumg Motors en Corée ou de Dacia en Roumanie ont aussi restreint l’image de
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la marque au low cost. Avec le véhicule électrique, Renault souhaite pourtant se réapproprier l’image d’une marque innovante : celle qui nous a fait connaître des évolutions majeures dans l’automobile comme le monospace ou le hayon tout en nous faisant oublier ces échecs des années 2000 (Avantime, Vel Satis,…).
Après ces accusations d’espionnage, la firme au losange est surreprésentée dans les médias. 5 minutes au 20h de TF1 (à revoir ici), un rebondissement quotidien sur le leadership violé nous amène à un Renault qui, après s’être déjà vu en haut de l’affiche, se positionne en Caliméro de l’électrique… Cette histoire éclipse même les excellents résultats de l’alliance avec Nissan annoncés il y a quelques jours (7,3 millions de véhicules vendus dans le monde, ce qui représente une performance globale en hausse de +19,6%!) et l’arrivée prochaine des premiers modèles ZE en concession.
Pourquoi Renault a donc révélé au grand jour cette affaire qui
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tourne au vinaigre pour son image de marque? Les suppositions vont bon train, d’autant plus que son investigation préalable semble loin d’être complète ou du moins claire. Véritable affaire d ‘état ? Prise de conscience sur une concurrence
déjà
féroce
sur ce néo segment qui s’avère moins « gagné » que prévu? Ou premier aveu de Renault sur la viabilité du tout l’électrique (dont les 3 cadres dirigeant auraient pu s’opposer selon des propos rapportés ici et là…) ?… La suite dans le(s) prochain(s) épisode(s).
Iconographie : Renault, carplate.fr.
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